La rue est aussi à nous 2024-2025

Empreinte numérique

Le texte ci-dessous est une représentation raccourcie et hachée de ce contenu. Il est utile de s'assurer que le contenu n'a pas été falsifié, car une seule modification entraînerait une valeur totalement différente.

Valeur: 5c01bbbda47f27f2615348d9d15e57c826130bc717052ae9353a03b415ff04ac

Source: {"body":{"fr":"<p><strong>Notice biographique de la femme dont vous proposez le nom :</strong></p><ul><li>Prénom, nom, surnom : Flora Tristan</li></ul><p><br></p><ul><li>Date de naissance et de mort (<em>rappel : uniquement les noms de femmes décédées depuis 5 minimum sont recevables</em>) : née le 7 avril 1803 et morte le 14 novembre 1844</li></ul><p><br></p><ul><li>Lieu de naissance, de vie, de décès, nationalité : Née à Paris et morte à Bordeaux. Elle est d'origine franco-péruvienne.</li></ul><p><br></p><p><br></p><ul><li>Profession(s) exercée(s) : Femme de lettres, conférencière, pamphlétaire.</li></ul><p><br></p><ul><li>Description de sa vie et des étapes importantes en mentionnant notamment tout évènement éventuel de sa vie en lien avec la Touraine : Née à Saint-Mandé, enfant naturelle d'une mère française et d'un père aristocrate péruvien, dont la mort prématurée laissera la famille dans la misère, Flora Tristan est d'abord ouvrière coloriste. Son mariage avec le graveur André Chazal sera une catastrophe qui la poursuivra toute sa vie. En 1825, elle s'enfuit du domicile conjugal avec ses deux enfants dont Aline, future mère de Gauguin. En 1826, elle est en Angleterre comme dame de compagnie et s'initie au saint-simonisme. En 1833, elle s'embarque pour le Pérou pensant pouvoir connaître sa famille paternelle, mais c'est un échec. De retour à Paris, elle prépare et publie sa première brochure, <em>De la nécessité de faire bon accueil aux femmes étrangères</em>, dans laquelle elle affirme la nécessité d'instruire les femmes, mais aussi la nécessité pour celles-ci de s'unir. Nouveaux heurts avec son mari qui lui enlève sa fille. Dans le même temps, Flora Tristan fait la rencontre de Fourier. En 1837, elle obtient enfin la séparation de corps d'avec son mari et publie peu après <em>Les Pérégrinations d'une paria</em>, récit autobiographique. Son mari, qui a tenté de l'abattre à coups de revolver, est condamné à vingt ans de travaux forcés. Elle passe l'été de 1839 en Angleterre et publie Les <em>Promenades dans Londres</em>, qui la classent parmi les écrivains sociaux. En 1843, Flora décide de publier L'Union ouvrière. Cinq ans avant le Manifeste du parti communiste, elle y affirme la nécessité de « l'union universelle des ouvriers et ouvrières [...] qui aurait pour but de constituer la classe ouvrière » : elle est reconnue dès lors comme une personnalité du mouvement socialiste. Alors qu'elle effectuait une tournée de conférences à travers la France, elle meurt à Bordeaux.</li></ul><p><br></p><ul><li>Le contexte et l’époque : Les débuts de mouvement socialiste.</li></ul><p><br></p><ul><li>Ses engagements, le rôle et l'influence qu'elle a pu avoir à son époque et/ou jusqu'à nos jours : Une des premières militantes féministes et socialistes.</li></ul><p><br></p><ul><li>Ses œuvres matérielles ou immatérielles : Les Pérégrinations d'une paria, 1837.</li></ul><p><br></p><p>Autres précisions qui vous semblent importantes :</p><p><br></p><p>Lieu public qui vous semblerait pertinent pour attribuer votre proposition (facultatif) :</p><p>https://www.universalis.fr/encyclopedie/flora-tristan/</p><p>Pour vous aider, vous pouvez consulter la <a href=\"https://decidonsensemble.tours.fr/pages\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\"><strong>rubrique d’aide</strong></a>.</p>"},"title":{"fr":"Flora Tristan - Femme de lettres, militante socialiste et féministe française"}}

Cette empreinte numérique est calculée à l'aide d'un algorithme de hachage SHA256. Pour le reproduire vous-même, vous pouvez utiliser un calculateur de hash MD5 en ligne et copier-coller les données. ×