La rue est aussi à nous

• née le 13 avril 1925 à Paris,

• Elle obtient le diplôme d’État d’infirmière en 1950, puis réussit en 1952 le concours de convoyeuse au sein de l'Armée de l'air.
  

• À sa demande, elle est affectée en Indochine à partir de mai 1953, au cœur de la guerre qui oppose les forces françaises à celles du Việt Minh. Stationnée à Hanoï, elle opère des évacuations sanitaires par avion à partir de l'aéroport de Pleiku. À partir de janvier 1954, elle participe aux évacuations de la bataille de Diên Biên Phu.
  
  

• À la suite de l’accident de son avion, Geneviève de Galard se retrouve coincée dans l’enfer du camp retranché de Diên Biên Phu. Cette jeune infirmière française va, pendant près de deux mois, soigner et soulager, sous la terre, avec abnégation et douceur, des centaines de soldats. Et puis, après le désastre militaire, quand tout sera fini, elle va refuser d’être libérée par les vainqueurs tant que les blessés ne seront pas tous rapatriés. Cet incroyable acte de courage et de dévouement va faire de Geneviève de Galard une légende vivante. Les militaires vont la décorer, les médias l’encenser et les politiques de tous bords tenter de la récupérer. Elle va involontairement devenir l’un des enjeux idéologiques de la guerre froide et de la décolonisation.

• Par respect pour les blessés et les morts de Dien Bien Phu, elle va choisir de retomber dans un quasi-anonymat. Elle continuera son travail d'infirmière au sein des Invalides à Paris.

•  Grand-croix de la Légion d'honneur en 2014
•  Grand officier de l'ordre national du Mérite en 2008
•  Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs en 1954
•  Médaille de l'Aéronautique
• Médaille de la Liberté (USA)

Pour vous aider, vous pouvez consulter la rubrique d’aide.

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  • Geneviève de Galard Terraube est une infirmière militaire française, convoyeuse de l'air, qui, durant la guerre d'Indochine, fut surnommée « l’ange de Dien Bien Phu ».

  
  

  • née le 13 avril 1925 à Paris,

  
  

  • Elle obtient le diplôme d’État d’infirmière en 1950, puis réussit en 1952 le concours de convoyeuse au sein de l'Armée de l'air.
    

  
  

  • À sa demande, elle est affectée en Indochine à partir de mai 1953, au cœur de la guerre qui oppose les forces françaises à celles du Việt Minh. Stationnée à Hanoï, elle opère des évacuations sanitaires par avion à partir de l'aéroport de Pleiku. À partir de janvier 1954, elle participe aux évacuations de la bataille de Diên Biên Phu.
    
    

  
  

  • À la suite de l’accident de son avion, Geneviève de Galard se retrouve coincée dans l’enfer du camp retranché de Diên Biên Phu. Cette jeune infirmière française va, pendant près de deux mois, soigner et soulager, sous la terre, avec abnégation et douceur, des centaines de soldats. Et puis, après le désastre militaire, quand tout sera fini, elle va refuser d’être libérée par les vainqueurs tant que les blessés ne seront pas tous rapatriés. Cet incroyable acte de courage et de dévouement va faire de Geneviève de Galard une légende vivante. Les militaires vont la décorer, les médias l’encenser et les politiques de tous bords tenter de la récupérer. Elle va involontairement devenir l’un des enjeux idéologiques de la guerre froide et de la décolonisation.

  
  

  • Par respect pour les blessés et les morts de Dien Bien Phu, elle va choisir de retomber dans un quasi-anonymat. Elle continuera son travail d'infirmière au sein des Invalides à Paris.

  
  

  •  Grand-croix de la Légion d'honneur en 2014
  •  Grand officier de l'ordre national du Mérite en 2008
  •  Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs en 1954
  •  Médaille de l'Aéronautique
  • Médaille de la Liberté (USA)

  
  

  
  

  
  

  Pour vous aider, vous pouvez consulter la rubrique d’aide.

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