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Dans une volonté de rendre la ville plus résiliente, la municipalité a revu en profondeur sa politique de gestion des bacs en ville. Il a été décidé de réduire fortement leur réinstallation afin de privilégier autant que possible la replantation en pleine terre. La première réalisation concerne la replantation de 34 arbres auparavant contenus en bacs.

L’été 2022 a été particulièrement difficile pour la végétation en ville au regard des températures élevées et du manque d’eau, avec un débit du Cher qui est passé au niveau « crise » (le niveau le plus critique en terme de limitation des usages de l’eau pour la Préfecture) dès le début du mois de juillet, et le débit de la Loire qui est lui-même passé en débit de crise au début du mois d’août. À ce moment-là, les services préfectoraux ont interdit l’arrosage des bacs en ville, qu’il a fallu rapatrier en urgence au Bois des Hâtes, à côté des serres de production, où il était encore possible de les arroser avant 8h.

Cet été 2022, marqué par des évènements climatiques extrêmes, augure très certainement ceux des années futures. Si les épisodes de sécheresse deviennent récurrents, les mesures d’abandon de massifs floraux ou de transferts en urgence doivent rester exceptionnelles. Consciente de cet enjeu, la municipalité s’est engagée depuis 2020 dans des actions de fond via son plan Nature en ville, grâce notamment à la définition d’une stratégie de gestion de l’arrosage basée sur l’économie d’eau et de nouveaux choix de production florale et de fleurissement. Une première vague de mesure sera présentée lors du prochain conseil municipal dans le plan de sobriété et de préservation de la ressource en eau.
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Dans une volonté de rendre la ville plus résiliente, la municipalité a revu en profondeur sa politique de gestion des bacs en ville.

Il a été décidé de réduire fortement leur réinstallation afin de privilégier autant que possible la replantation en pleine terre. La première réalisation concerne la replantation de 34 arbres auparavant contenus en bacs.

L’été 2022 a été particulièrement difficile pour la végétation en ville au regard des températures élevées et du manque d’eau, avec un débit du Cher qui est passé au niveau « crise » (le niveau le plus critique en terme de limitation des usages de l’eau pour la Préfecture) dès le début du mois de juillet, et le débit de la Loire qui est lui-même passé en débit de crise au début du mois d’août. À ce moment-là, les services préfectoraux ont interdit l’arrosage des bacs en ville, qu’il a fallu rapatrier en urgence au Bois des Hâtes, à côté des serres de production, où il était encore possible de les arroser avant 8h.

Cet été 2022, marqué par des évènements climatiques extrêmes, augure très certainement ceux des années futures. Si les épisodes de sécheresse deviennent récurrents, les mesures d’abandon de massifs floraux ou de transferts en urgence doivent rester exceptionnelles. Consciente de cet enjeu, la municipalité s’est engagée depuis 2020 dans des actions de fond via son plan Nature en ville, grâce notamment à la définition d’une stratégie de gestion de l’arrosage basée sur l’économie d’eau et de nouveaux choix de production florale et de fleurissement. Une première vague de mesure sera présentée lors du prochain conseil municipal dans le plan de sobriété et de préservation de la ressource en eau.
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-["Dans une volonté de rendre la ville plus résiliente, la municipalité a revu en profondeur sa politique de gestion des bacs en ville. Il a été décidé de réduire fortement leur réinstallation afin de privilégier autant que possible la replantation en pleine terre. La première réalisation concerne la replantation de 34 arbres auparavant contenus en bacs. L’été 2022 a été particulièrement difficile pour la végétation en ville au regard des températures élevées et du manque d’eau, avec un débit du Cher qui est passé au niveau « crise » (le niveau le plus critique en terme de limitation des usages de l’eau pour la Préfecture) dès le début du mois de juillet, et le débit de la Loire qui est lui-même passé en débit de crise au début du mois d’août. À ce moment-là, les services préfectoraux ont interdit l’arrosage des bacs en ville, qu’il a fallu rapatrier en urgence au Bois des Hâtes, à côté des serres de production, où il était encore possible de les arroser avant 8h. Cet été 2022, marqué par des évènements climatiques extrêmes, augure très certainement ceux des années futures. Si les épisodes de sécheresse deviennent récurrents, les mesures d’abandon de massifs floraux ou de transferts en urgence doivent rester exceptionnelles. Consciente de cet enjeu, la municipalité s’est engagée depuis 2020 dans des actions de fond via son plan Nature en ville, grâce notamment à la définition d’une stratégie de gestion de l’arrosage basée sur l’économie d’eau et de nouveaux choix de production florale et de fleurissement. Une première vague de mesure sera présentée lors du prochain conseil municipal dans le plan de sobriété et de préservation de la ressource en eau."]
+["Dans une volonté de rendre la ville plus résiliente, la municipalité a revu en profondeur sa politique de gestion des bacs en ville.<img src=\"https://decidonsensemble.tours.fr//uploads/decidim/decidim_awesome/editor_image/image/255/plantations_citoyennes.png\">Il a été décidé de réduire fortement leur réinstallation afin de privilégier autant que possible la replantation en pleine terre. La première réalisation concerne la replantation de 34 arbres auparavant contenus en bacs. L’été 2022 a été particulièrement difficile pour la végétation en ville au regard des températures élevées et du manque d’eau, avec un débit du Cher qui est passé au niveau « crise » (le niveau le plus critique en terme de limitation des usages de l’eau pour la Préfecture) dès le début du mois de juillet, et le débit de la Loire qui est lui-même passé en débit de crise au début du mois d’août. À ce moment-là, les services préfectoraux ont interdit l’arrosage des bacs en ville, qu’il a fallu rapatrier en urgence au Bois des Hâtes, à côté des serres de production, où il était encore possible de les arroser avant 8h. Cet été 2022, marqué par des évènements climatiques extrêmes, augure très certainement ceux des années futures. Si les épisodes de sécheresse deviennent récurrents, les mesures d’abandon de massifs floraux ou de transferts en urgence doivent rester exceptionnelles. Consciente de cet enjeu, la municipalité s’est engagée depuis 2020 dans des actions de fond via son plan Nature en ville, grâce notamment à la définition d’une stratégie de gestion de l’arrosage basée sur l’économie d’eau et de nouveaux choix de production florale et de fleurissement. Une première vague de mesure sera présentée lors du prochain conseil municipal dans le plan de sobriété et de préservation de la ressource en eau."]

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Dans une volonté de rendre la ville plus résiliente, la municipalité a revu en profondeur sa politique de gestion des bacs en ville. Il a été décidé de réduire fortement leur réinstallation afin de privilégier autant que possible la replantation en pleine terre. La première réalisation concerne la replantation de 34 arbres auparavant contenus en bacs.

L’été 2022 a été particulièrement difficile pour la végétation en ville au regard des températures élevées et du manque d’eau, avec un débit du Cher qui est passé au niveau « crise » (le niveau le plus critique en terme de limitation des usages de l’eau pour la Préfecture) dès le début du mois de juillet, et le débit de la Loire qui est lui-même passé en débit de crise au début du mois d’août. À ce moment-là, les services préfectoraux ont interdit l’arrosage des bacs en ville, qu’il a fallu rapatrier en urgence au Bois des Hâtes, à côté des serres de production, où il était encore possible de les arroser avant 8h.

Cet été 2022, marqué par des évènements climatiques extrêmes, augure très certainement ceux des années futures. Si les épisodes de sécheresse deviennent récurrents, les mesures d’abandon de massifs floraux ou de transferts en urgence doivent rester exceptionnelles. Consciente de cet enjeu, la municipalité s’est engagée depuis 2020 dans des actions de fond via son plan Nature en ville, grâce notamment à la définition d’une stratégie de gestion de l’arrosage basée sur l’économie d’eau et de nouveaux choix de production florale et de fleurissement. Une première vague de mesure sera présentée lors du prochain conseil municipal dans le plan de sobriété et de préservation de la ressource en eau.
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Il a été décidé de réduire fortement leur réinstallation afin de privilégier autant que possible la replantation en pleine terre. La première réalisation concerne la replantation de 34 arbres auparavant contenus en bacs.

L’été 2022 a été particulièrement difficile pour la végétation en ville au regard des températures élevées et du manque d’eau, avec un débit du Cher qui est passé au niveau « crise » (le niveau le plus critique en terme de limitation des usages de l’eau pour la Préfecture) dès le début du mois de juillet, et le débit de la Loire qui est lui-même passé en débit de crise au début du mois d’août. À ce moment-là, les services préfectoraux ont interdit l’arrosage des bacs en ville, qu’il a fallu rapatrier en urgence au Bois des Hâtes, à côté des serres de production, où il était encore possible de les arroser avant 8h.

Cet été 2022, marqué par des évènements climatiques extrêmes, augure très certainement ceux des années futures. Si les épisodes de sécheresse deviennent récurrents, les mesures d’abandon de massifs floraux ou de transferts en urgence doivent rester exceptionnelles. Consciente de cet enjeu, la municipalité s’est engagée depuis 2020 dans des actions de fond via son plan Nature en ville, grâce notamment à la définition d’une stratégie de gestion de l’arrosage basée sur l’économie d’eau et de nouveaux choix de production florale et de fleurissement. Une première vague de mesure sera présentée lors du prochain conseil municipal dans le plan de sobriété et de préservation de la ressource en eau.
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Suppressions

-["Dans une volonté de rendre la ville plus résiliente, la municipalité a revu en profondeur sa politique de gestion des bacs en ville. Il a été décidé de réduire fortement leur réinstallation afin de privilégier autant que possible la replantation en pleine terre. La première réalisation concerne la replantation de 34 arbres auparavant contenus en bacs. L’été 2022 a été particulièrement difficile pour la végétation en ville au regard des températures élevées et du manque d’eau, avec un débit du Cher qui est passé au niveau « crise » (le niveau le plus critique en terme de limitation des usages de l’eau pour la Préfecture) dès le début du mois de juillet, et le débit de la Loire qui est lui-même passé en débit de crise au début du mois d’août. À ce moment-là, les services préfectoraux ont interdit l’arrosage des bacs en ville, qu’il a fallu rapatrier en urgence au Bois des Hâtes, à côté des serres de production, où il était encore possible de les arroser avant 8h. Cet été 2022, marqué par des évènements climatiques extrêmes, augure très certainement ceux des années futures. Si les épisodes de sécheresse deviennent récurrents, les mesures d’abandon de massifs floraux ou de transferts en urgence doivent rester exceptionnelles. Consciente de cet enjeu, la municipalité s’est engagée depuis 2020 dans des actions de fond via son plan Nature en ville, grâce notamment à la définition d’une stratégie de gestion de l’arrosage basée sur l’économie d’eau et de nouveaux choix de production florale et de fleurissement. Une première vague de mesure sera présentée lors du prochain conseil municipal dans le plan de sobriété et de préservation de la ressource en eau."]

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+["Dans une volonté de rendre la ville plus résiliente, la municipalité a revu en profondeur sa politique de gestion des bacs en ville.<img src=\"https://decidonsensemble.tours.fr//uploads/decidim/decidim_awesome/editor_image/image/255/plantations_citoyennes.png\">Il a été décidé de réduire fortement leur réinstallation afin de privilégier autant que possible la replantation en pleine terre. La première réalisation concerne la replantation de 34 arbres auparavant contenus en bacs. L’été 2022 a été particulièrement difficile pour la végétation en ville au regard des températures élevées et du manque d’eau, avec un débit du Cher qui est passé au niveau « crise » (le niveau le plus critique en terme de limitation des usages de l’eau pour la Préfecture) dès le début du mois de juillet, et le débit de la Loire qui est lui-même passé en débit de crise au début du mois d’août. À ce moment-là, les services préfectoraux ont interdit l’arrosage des bacs en ville, qu’il a fallu rapatrier en urgence au Bois des Hâtes, à côté des serres de production, où il était encore possible de les arroser avant 8h. Cet été 2022, marqué par des évènements climatiques extrêmes, augure très certainement ceux des années futures. Si les épisodes de sécheresse deviennent récurrents, les mesures d’abandon de massifs floraux ou de transferts en urgence doivent rester exceptionnelles. Consciente de cet enjeu, la municipalité s’est engagée depuis 2020 dans des actions de fond via son plan Nature en ville, grâce notamment à la définition d’une stratégie de gestion de l’arrosage basée sur l’économie d’eau et de nouveaux choix de production florale et de fleurissement. Une première vague de mesure sera présentée lors du prochain conseil municipal dans le plan de sobriété et de préservation de la ressource en eau."]

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Auteur de la version

Alexis Vannier

Version créée le 27/04/2023 15:49